วันจันทร์ที่ 30 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

"ถูกนินทาว่าร้าย คิดอย่างไรจึงจะหายทุกข์"

"ถูกนินทาว่าร้าย คิดอย่างไรจึงจะหายทุกข์"


1. เป็นธรรมดาของโลก

ให้คิดว่านี่เป็นธรรมดาของโลก ไม่เคยมีใครสักคนบนโลกนี้ที่รอดพ้นจากคำนินทา เพราะแม้แต่พระพุทธเจ้าของเรา ขนาดท่านเป็นผู้ที่ประเสริฐบริสุทธิ์สูงสุด แต่ท่านก็ยังไม่พ้นถูกคนพาลกล่าวโจมตีว่าร้ายจนได้ แล้วนับประสาอะไรกับเราที่เป็นแค่คนธรรมดาสามัญที่ยังมีทั้งดีและชั่วจะรอดพ้นปากคนนินทาไปได้ คิดอย่างนี้แล้วจะได้สบายใจว่า การถูกนินทานี่เป็นแค่เรื่องธรรมดา เกิดขึ้นมาพร้อมกับโลก (โลกธรรม) และ ยังคงมีอยู่ต่อไปตราบชั่วฟ้าดินสลาย



2. ให้มีจิตใจมั่นคงดุจภูผา

ถ้าเรามีความบริสุทธิ์ใจ ทำการงานด้วยความตั้งใจปรารถนาดี แต่แล้วก็ยังไม่พ้นถูกคนนินทา กล่าวร้ายว่าอย่างนั้นอย่างนี้ ก็ขอให้เรามีความมั่นใจในความดีของเรา อุปมาภูผาหินแท่งตันไม่หวั่นไหวในลมพายุฉันใด บัณฑิตผู้มีจิตใจหนักแน่นในความดี ย่อมไม่หวั่นไหวในคำสรรเสริญ และ คำนินทาแม้ฉันนั้น

3.ให้มีจิตเมตตาสงสารผู้นินทา

ให้คิดด้วยความเมตตากรุณาว่า คนที่นินทาเรานั้น ย่อมกระทำไปด้วยความอิจฉาริษยา เขาจะต้องเผาลนจิตใจของเขาให้ร้อนรุ่มเสียก่อน จึงจะสามารถพูดนินทาว่าร้ายคนอื่นออกมาได้ ให้คิดเมตตาสงสาร แทนที่จะไปโกรธเคืองเขา

อนึ่ง คนที่ชอบกล่าววาจาส่อเสียด หรือ ชอบนินทาว่าร้ายผู้อื่น โดยปรกติเขาย่อมเป็นผู้หามิตรสหายที่ใกล้ชิดไม่ค่อยได้ เพราะไม่เคยมีใครไว้วางใจคนที่ชอบนินทาว่าร้ายผู้อื่น ให้คิดเห็นใจเขาในฐานะที่เขาต้องเป็นผู้อยู่ในโลกนี้ด้วยความรู้สึกโดดเดี่ยว เพราะเขาย่อมหาเพื่อนแท้ไม่ได้

4. คิดหาประโยชน์จากคำนินทา

คนที่คิดกล่าวร้ายเรา บางทีเขาต้องไปนั่งคิดนอนคิดหาจุดอ่อนในตัวของเรา เพื่อเอามาพูดโจมตี บางทีจุดอ่อนเหล่านี้ตัวเราเองก็มีอยู่จริงแต่ทว่าเราไม่รู้ตัวมาก่อน นี้เป็นประโยชน์มาก เพราะเราสามารถนำข้อมูลเหล่านี้มาพัฒนาปรับปรุงตนเองได้ ดังนั้นเราจึงควรที่จะขอบคุณคนนินทาเรา เพราะเขาอุตส่าห์ไปนั่งคิดนอนคิดช่วยค้นหาข้อมูลมาช่วยให้เราปรับปรุงตนเอง

5. คิดวิเคราะห์ให้เห็นปัญหาสังคม

สังคมไทยเป็นสังคมที่มีความสัมพันธ์ในแนวดิ่ง คือเน้นเรื่องการใช้อำนาจครอบงำกันและกัน จึงมีการปลูกฝังสอนให้คิดแข่งดีแข่งเด่น คิดเหนือผู้อื่น สอนให้อยากเป็นใหญ่เป็นโต (มานะ) มาตั้งแต่โบราณ (คาดว่าไม่ต่ำกว่าห้าร้อยปี คือตั้งแต่สมัยอยุธยาตอนต้น) ทำให้คนไทยเรา เวลาเห็นใครทำดี ก็มักจะเกิดความริษยาโดยไม่รู้ตัว คือทนไม่ได้ที่จะเห็นคนอื่นดีกว่าตน

สังคมที่มีความสัมพันธ์ในแนวดิ่งเช่นนี้ ผู้คนจึงมักจะชอบนินทาว่าร้ายกันและกันเป็นเรื่องธรรมดา ถ้าคิดวิเคราะห์ได้เช่นนี้แล้วก็สบายใจ ไม่ต้องไปเดือดเนื้อร้อนใจอะไรมาก ให้ถือว่าการที่เราถูกนินทานี้ก็เป็นส่วนหนึ่งของปรากฏการณ์ทางสังคมก็แล้วกัน มันเป็นเช่นนั้นเอง

ในอนาคตไม่แน่ หากมีการศึกษาเรื่องพุทธธรรมกับสังคมไทยกันอย่างจริงจัง บางทีเราอาจจะสามารถเปลี่ยงแปลงความสัมพันธ์ทางสังคมจาก แนวดิ่ง ให้เป็น แนวราบ คือ คนไทยมีความเสมอภาคกัน ไม่ถืออำนาจเป็นใหญ่ แต่ถือความถูกต้องดีงามเป็นใหญ่ เมื่อถึงเวลานั้นสังคมที่เต็มไปด้วยการนินทาว่าร้ายก็จะลดน้อยลงไปเองตามธรรมชาติ แล้วภาษิตยอดฮิตที่ว่า สังคมเสื่อมถอยเพราะคนดีท้อแท้ หรือ ทำดีแต่อย่าเด่นจะเป็นภัย จะได้เลิกใช้กันเสียที



มีสาระดีมะ .... ดีเนอะๆ

วันเสาร์ที่ 28 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

Guitare



La guitare est un instrument à cordes pincées joué avec les doigts ou avec un plectre (ou médiator). La vibration des cordes est amplifiée par la résonance du corps, le manche servant à modifier la hauteur des notes.


Il existe différents types de guitares, (acoustique, électrique, électro-acoustique...), tous issus de la guitare classique, et qui partagent des caractéristiques et des techniques de jeu communes tout en apportant une richesse sonore propre à cette famille d'instruments. La guitare est un instrument dont la popularité, déjà établie aux siècles derniers, s'est accentuée avec la diffusion internationale des rythmes anglo-saxons au XXe siècle (Jazz, Blues, Pop, Rock).


Origines
Les premières traces connues d'instruments similaires à la guitare remontent à -3000 environ en Perse. Étymologiquement, le mot « guitare » est une combinaison de deux mots : Guit qui provient du sanskrit Sangeeta signifiant « musique », et la seconde partie tar, purement perse et qui signifie « accord » ou « corde ». Le sanskrit était initialement une langue officielle des Aryens, habitants de l'Iran et du Nord-Ouest de l'Inde. Malgré des sonorités proches, le mot « guitare » n'est pas dérivé du mot sitar, qui désigne un instrument à cordes, mais est certainement passé par le mot grec kithara (ϰιθάϱα), et de façon certaine par l'arabe qîtâra, puis l'espagnol guitarra.

La guiterne était un instrument populaire durant le quatorzième siècle. Elle est restée en usage jusqu'à la moitié du dix-septième siècle. La guiterne était jouée avec un plectre, avait un corps plat, le corps et le manche étaient construits d'une même pièce de bois. La gittern avait habituellement quatre cordes simples.


Pour le célèbre guitariste espagnol Paco de Lucía, l'inventeur de la guitare telle qu'on la connaît s'appelle Zyryab. Né à Bagdad, il a vécu à la fin du VIIIe siècle à la cour de Cordoue. Il a ajouté une cinquième corde au Oud (le luth arabe) et a fondé une école de musique qui eut une influence considérable sur la musique arabo-andalouse.

C'est le luthier espagnol Antonio de Torres, en 1874, qui donna à la guitare la forme et les dimensions de la guitare classique actuelle. De nombreuses déclinaisons ont été créées au XXe siècle (folk, jazz, électrique) à partir de cette guitare Torres.


Éléments constitutifs d'une guitare
La tête
Située, comme son nom l'indique, à l'extrémité du manche, c'est sur elle que viennent s'attacher les cordes. Leur tension peut être modifiée pour les accorder à l'aide des mécaniques, un système de vis sans fin actionnées par des clefs, qui entraînent de petits rouleaux sur lesquels s'enroulent les cordes. Celles-ci passent ensuite par le sillet de tête, petite barre généralement en os (ou en plastique pour les guitares de qualité inférieure), dans laquelle sont creusées de petites rainures qui guident chaque corde vers le manche au sortir de la tête.

Il existe aussi des guitares à double manche. Ces deux manches montés parallèlement permettent de changer d'accordage pendant un morceau tout en conservant la même guitare, et peuvent même être utilisées en simultané. C’est ainsi que s'en sert par exemple le guitariste polonais Adam Fulara, notamment lors de ses interprétations en tapping de Bach à la guitare. Il existe aussi des guitares double manche dont l'un est simple et l'autre monté avec 12 cordes.

Il existe également des modèles électriques sans tête. La mode à été initiée au milieu des années 80 par la firme Steinberger. L'accroche et l'accordage des cordes se font au niveau du cordier.

Le guitariste pince les cordes de la main droite et bloque les cordes avec les doigts de sa main gauche. Les gauchers inversent la position de la guitare, ainsi que celles des cordes (sauf certains comme Albert King ou Jimi Hendrix), pour garder les graves vers le haut : le manche est alors à droite. Outre le déplacement des cordes, d'autres modifications sont nécessaires sur une guitare acoustique pour gaucher : le barrage (petite barre en bois renforçant la table) de la table d'harmonie est en effet différent du côté des graves et des aigus, et doit être retourné.

Il faut toutefois noter que certains estiment qu'un gaucher peut tout à fait jouer sur une guitare montée pour un droitier, comme c'est le cas pour d'autres instrumentistes (violonistes, etc.).


Le manche
Le manche est une pièce essentielle, puisqu'il sert au guitariste à déterminer quelles notes il va jouer, et de quelle manière (et parfois à les jouer directement, grâce à des techniques comme le legato). Sur une guitare classique, le manche est relié au corps par le talon, pièce de bois collée qui peut adopter des formes différentes suivant les luthiers. Avec les guitares électriques, sont apparus les manches vissés, moins chers à produire et plus faciles à réparer mais qui peuvent altérer les qualités sonores de l'instrument. Certains fabricants, notamment Gibson Guitar Corporation, continuent donc à utiliser la technique du manche collé sur leurs modèles haut de gamme, telle la Les Paul de chez Gibson. Cette technique garantit un meilleur sustain au son de la guitare.

La plupart des guitares sont montées « à gauche », c'est-à-dire qu'en position de jeu, le manche se place à la gauche du musicien. Cependant, il existe aussi des instruments inversés destinés aux gauchers, appelés « guitares gaucher ».

Par convention, la corde la plus grave se trouve en haut du manche et la plus aiguë en bas, dans une configuration classique de droitier. Cette convention se répercute aussi sur l'appellation des mains : en général on appelle « main droite » celle qui gratte les cordes au-dessus de la caisse, la « main gauche » étant celle qui plaque les accords et les notes sur le manche, quelles que soient effectivement les mains qui réalisent ces actions.

D'autre part, les manches des guitares à cordes métalliques (électriques et folk) sont en général équipés d'un "truss rod", barre métallique traversant le manche afin de l'aider à résister à la tension très importante exercée par les cordes. Ce truss rod est le plus souvent réglable, ce qui permet au guitariste d'adapter la forme de son manche à ses préférences personnelles, mais aussi aux différents tirants de cordes, voire au vieillissement du bois.

Les cordes
Généralement au nombre de six, les cordes vibrent et produisent les notes. Elles sont généralement montées, c'est-à-dire fixées à la tête et au chevalet, dans l'ordre croissant des notes qu'elles produisent « à vide » (sans appui des doigts sur la touche). Chaque corde a un diamètre différent : plus le diamètre est faible, plus la corde est fine et plus le son est aigu. La corde la plus fine - et donc la plus aigüe - est appelée « chanterelle ».

Les cordes possèdent des caractéristiques de souplesse et de résonance différentes selon la matière utilisée (essentiellement nylon, bronze, nickel ou cuivre aujourd'hui, et boyaux de mouton avant l'invention du nylon). Le choix des cordes est fondamental pour la qualité du son comme pour le plaisir du jeu : les cordes en nylon produisent en effet un son plus chaud (c'est-à-dire privilégiant les fréquences graves) que les cordes en métal, lesquelles sont plus sonores et produisent un son plus brillant (privilégiant les fréquences aigües). On les distingue également par leur tirant, ou coefficient de souplesse. En général, plus une corde a un tirant faible plus elle est souple, mais plus le son produit est faible. Les guitares électriques, dont le son est amplifié artificiellement, ont souvent des tirants très faibles par rapport aux guitares acoustiques.


Guitare acoustique
Guitare classique à six cordes
C'est le modèle le plus courant, comportant trois cordes aiguës généralement en nylon et trois cordes basses en soie, filées et gainées de métal.

Les cordes en nylon existent depuis 1940, date à laquelle elles ont commencé à remplacer les cordes en boyau. Le nylon est en effet bien moins sensible aux changements d'hygrométrie et de température. De plus, sa solidité permet des tensions importantes et donc un volume sonore bien plus élevés.

La tessiture de la guitare classique, c'est-à-dire l'étendue des notes pouvant être jouées, de la plus grave à la plus aiguë, est, comme le montre l'illustration ci-dessous, de trois octaves et une quinte. La touche, est plate. Les mécaniques à vis sans fin - qui ont remplacé les chevilles à partir du XIXe siècle - sont intégrées à la tête comme sur un violon. Le manche, quant à lui, est généralement divisé en douze cases, la touche – qui compte sept cases supplémentaires sur la table d'harmonie – comportant dix-neuf cases au total.

Il est à noter que les partitions pour guitares classiques sont écrites une octave au dessus du son réel émis par la guitare. Par exemple le la de référence à 440 Hz se note sur la portée dans la deuxième interligne. Or il sera au final joué comme un la à 220 Hz, et ce afin d'éviter les changements intempestifs de clef.

La nomenclature usuelle indique la taille des guitares ainsi :

1/4 pour une longueur de cordes de 40 cm et un âge moyen de 5 à 6 ans.
1/2 pour une longueur de cordes de 48 cm et un âge moyen de 7 ans.
3/4 pour une longueur de cordes de 58 cm et un âge moyen de 8 à 9 ans.
7/8 pour une longueur de cordes de 63 cm correspondant à une personne de petite taille.
4/4 pour une longueur de cordes de 65 cm correspondant à une personne de taille ordinaire.


Guitare électrique
Apparue dans les années 1930 pour compenser le manque de volume sonore des guitares par rapport aux autres instruments des orchestres de Jazz, la guitare électrique est équipée d'un ou plusieurs micros simples ou doubles (voir plus haut) qui transmettent le son à un amplificateur. Ce système permet non seulement d'obtenir un son beaucoup plus puissant, mais également de retravailler ce son et d'y ajouter divers effets, le plus connu étant la saturation.

Libérée par ses micros de nombreuses contraintes, telles que la présence obligatoire d'une caisse de résonance de taille suffisante, la guitare électrique peut adopter les formes les plus variées. Elle comporte le plus souvent six cordes métalliques dont trois (ou quatre, en Jazz) sont filées, mais des modèles à douze cordes (arrangées par paires) existent, ainsi que de nombreuses autres déclinaisons. Le manche peut être divisé en 21 cases (Fender Stratocaster), 22 (Gibson Les Paul) ou plus (24 pour la Paul Reed Smith).

On trouve également des guitares électriques à sept cordes (la corde supplémentaire, plus grave, étant accordée en si), employées dans le metal et popularisées par Steve Vai, plus rarement à huit cordes (employées notamment par le groupe Meshuggah), ainsi que des guitares à deux manches (utilisée notamment par Jimmy Page) permettant de coupler en un seul instrument une guitare six cordes et une douze cordes, ou encore une acoustique et une électrique, une guitare et une basse ... On trouve de nombreux autres genres de guitares, plus marginaux : à manches multiples (jusqu'à huit !), à corps carré, en forme de V ...

Il existe de très nombreux types de guitares électriques, qui appartiennent toutes à l'une des trois familles suivantes :

les guitares à corps plein ou solid body, très populaires dans le Rock et la Pop, sont, comme leur nom l'indique, dépourvues de caisse de résonance. Très polyvalentes, ces guitares sont égalemement moins encombrantes, et leur son n'est pas parasité par les effets induits par une caisse de résonance à haut volume, tel que la rétroaction acoustique appelée à tort larsen. On peut citer parmi les modèles les plus célèbres les Fender Telecaster, Fender Stratocaster et Gibson Les Paul.
les guitares demi-caisses ou quart de caisse, sont équipées d'une caisse de résonance de taille limitée, en général dotée d'ouïes sur les côtés de la table d'harmonie. Avec ou sans poutre centrale, elles ont un son plus « chaud » et sont préférées dans le Rock 'n' Roll et le Blues. Elles sont néanmoins parfois sujettes aux larsen, et supportent mal les saturations très importantes. Les Gibson ES-335 sont parmi les modèles les plus connus.
les guitares à caisse, ou guitares archtop (voir plus haut), sont équipées de micros doubles et utilisées essentiellement en jazz, car elles offrent un son plus rond.


Guitare basse
Couramment appelée basse, cette variante de la guitare électrique est apparue dans les années 1950 pour pallier le manque de puissance sonore des contrebasses dans les orchestres de Rock and Roll. C'est un des rares instruments conçus dès l'origine pour être amplifiés : la majorité des basses sont donc électriques.

Elle a le plus souvent quatre cordes (mais on trouve des modèles de cinq à douze cordes, indépendantes ou doublées) avec un manche plus long et des cordes plus grosses que sur les autres types de guitare, ce qui donne un son beaucoup plus grave, en général d'une octave. L'accordage traditionnel d'une basse est le même que celui de la contrebasse, c'est-à-dire celui des quatre cordes les plus graves d'une guitare, mais une octave au-dessous. La basse électrique est employée massivement dans le Rock, le Blues et leurs dérivés, ainsi que par certains musiciens de Jazz comme Jaco Pastorius, Victor Wooten ou Marcus Miller (bassiste de Miles Davis).

Il existe aussi des basses acoustiques, dérivées de l'instrument électrique original, mais la majorité d'entre elles pèchent par leur manque de puissance sonore, du à une caisse de résonance trop petite. Une caisse de résonance de plus grande taille rendrait l'instrument très encombrant.

Il existe cependant une énorme guitare basse acoustique principalement utilisée au Mexique par les groupes de mariachis. Appelé guitarron, cet instrument peut avoir quatre ou six cordes, le modèle à six cordes étant le plus courant.




Vocabulaire
hauteur ความสูง, ระดับเสียง
rythmes คลื่น จังหวะดนตรี
luthier ผู้ประดิษฐ์กีตาร์
resonance เสียงก้อง ความก้อง

วันอังคารที่ 24 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

Sakura




Sakura (japonais, kanji : 桜 ou 櫻, hiragana : さくら, katakana : サクラ ) est le nom japonais des cerisiers ornementaux du Japon (dont Prunus serrulata) ainsi que de leurs fleurs. La cerise (appelée 桜んぼ sakuranbo) vient d'une autre espèce de Prunus.


Symbolique du Sakura
Le sakura a toujours été un symbole de beauté éphémère au Japon et est étroitement associé aux samouraïs et aux bushi. La vie était considérée comme belle et courte, un peu comme une fleur de cerisier.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le sakura était un symbole servant à motiver le peuple japonais. Les pilotes nippons le peignaient sur les flancs de leur avion avant de partir pour une mission suicide, en tant que symbole de beauté et de nature éphémère. Le gouvernement encourageait les Japonais à croire que l'âme des soldats morts au combat se réincarnaient en fleurs de cerisier. Aujourd'hui encore, les militaires et les policiers utilisent ces fleurs comme emblèmes, drapeaux et insignes à la place de classiques étoiles.



Influence culturelle
La floraison de ces cerisiers a de tout temps inspiré les artistes japonais : l'empreinte culturelle de cet évènement est omniprésente dans la littérature (notamment dans les manga et les anime) et la peinture japonaises, les danses traditionnelles, le théâtre et la religion (bouddhisme, shintoisme).

De même, le sakura est très présent dans la musique (par exemple, le groupe Kagrra associe souvent ses chansons ou l'ambiance de ses concerts au cerisier). Il existe au moins une chanson populaire intitulée Sakura, initialement prévue pour être jouée par un shakuhachi (flûte de bambou) ; on compte également de nombreux morceaux de J-Pop portant ce titre.

Les sakura sont représentés de manières très diverses sur les kimonos, les articles de papeterie et la vaisselle.

"Sakura" est aussi un prénom féminin très courant.


Cultivars
Il existe de très nombreux cultivars de Sakura se différenciant par le nombre de pétales, la couleur des fleurs et des jeunes feuilles, la période de floraison ou le port de l'arbre.

La variété préférée des Japonais est le Somei Yoshino (japonais : 染井吉野). Ses fleurs sont d'un blanc presque pur teinté du rose le plus pâle particulièrement au niveau de la tige. En général, les pétales de ces fleurs tombent (ou plutôt "se dispersent", 散る chiru en japonais) une semaine avant que les feuilles n'apparaissent ; c'est pourquoi, ils semblent blanc du tronc à la cime. Cette variété tient son nom du village de Somei (maintenant partie intégrante de l'arrondissement tokyoïte de Toshima). Elle a été développée du milieu jusqu'à la fin du XIXe, entre la fin de l'époque d'Edo et le début de l'ère Meiji. Le Somei Yoshino est si largement associé au cerisier que les jidaigeki (films historiques) et autres œuvres de fiction représentent cette variété au début de l'époque d'Edo, voire bien avant ; de telles mises en scène sont donc purement anachroniques.

Les yamazakura, yaezakura, et shidarezakura sont d'autres variétés de cerisier du Japon. Le yaezakura a de grandes fleurs avec plus de 5 pétales denses et rose foncé. Le shiradezakura, ou "cerisier pleureur", possèdent des branches qui tombent comme celles du saule pleureur et portant des cascades de fleurs roses.

วันอาทิตย์ที่ 22 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

Le Laboratoire de Dexter



Le Laboratoire de Dexter (Dexter's Laboratory) est une série télévisée d'animation américaine en 221 épisodes de 10 minutes, créée par Genndy Tartakovsky, produite par Hanna-Barbera (de 1996 à 1998) puis Cartoon Network Studios de (2001 à 2003) et diffusée entre le 28 avril 1996 et le 26 septembre 2003 sur le réseau Cartoon Network. En France, la série a été diffusée à partir du 5 septembre 1999 sur France 3 dans l'émission Les Minikeums et sur Cartoon Network depuis 2000. Au Québec, la série a été diffusée à Télétoon.


Personnages

Dexter : 8 ans, rouquin, petit par son âge et par sa taille mais aussi très intelligent. Il a un immense laboratoire secret caché derrière l'étagère de sa chambre dont ses parents ignorent complètement l'existence et il y passe littéralement la plus grande partie de son temps libre à y inventer ou bien des portails interdimensionnels, des machines à remonter le temps, des télépodes, des machines à rétrécir ou agrandir, etc. Nous noterons d'ailleurs que toutes ses inventions sont développées avec des budgets quasiment illimités.
Il est habillé en permanence de sa blouse blanche de ses grosses lunettes (se déformant et indiquant par la même occasion ses sentiments) et de ses gants violets (protection bactériologique) trahissant sa peur de se faire mal. La relation qu'a Dexter pour ses parents est exactement celle d'un enfant de 10 ans avec des parents dit normaux.


Dee Dee : 11 ans, sœur aînée de Dexter, débordante d'énergie, passant son temps à appuyer sur les boutons d'autodestruction du laboratoire de son frère non pas par méchanceté mais par naïveté. Blonde, avec des jambes occupant à peu près les deux tiers de sa hauteur, Dee Dee est aussi passionnée par les poneys, et sa chambre est une zone à haut risque selon Dexter, car toute rose et emplie de peluches. Malgré l'énervement profond que Dee Dee créé à Dexter en ne cessant de danser dans son laboratoire ou de détruire ses inventions, un lien fort et profond les lie et Dexter s'avoue et avoue plusieurs fois à sa sœur qu'il ne peut se concentrer dans un laboratoire trop silencieux (Cf. épisode Bienvenue à Friandises Land).
Mandark : 12 ans, l'ennemi juré de Dexter, aussi intelligent, disposant de son propre laboratoire, mais plus grand que Dexter, il est amoureux de Dee Dee et essaye désespérément de localiser le laboratoire de Dexter. On notera également que la physionomie de Mandark (Jambes très longues, corps minuscule et tête imposante) est la même que celle de Dee Dee, ce qui pourrait expliquer son amour pour celle-ci.


Maman : mère stéréotypée de Dexter et de Dee Dee, se promenant toujours avec ses gants de nettoyage passés à ses mains. Elle semble d'une naïveté extrême et très douce et gentille mais ne supporte pas que son fils refuse de lui obéir et l'on peut à ses moments là assister à une "explosion" de colère de quelques secondes avant qu'elle ne recourvre ses habitudes doucereuses.


Papa : père stéréotypé de Dexter et de Dee Dee, adore la pêche, le sport, lire son journal et manger les brioches de sa femme. Tout comme cette dernière, il ne brille pas par son intelligence ni sa déduction et ne semble pas non plus connaître l'existence du laboratoire secret (bien que certains épisodes tendraient à nous faire penser que les parents de Dexter savent qu'il existe. Mais la règle communément admise est que seuls Dexter, Dee Dee et Mandark connaissent l'existence du laboratoire.) On s'étonne également souvent de l'immense inattention des parents de Dexter qui ne remarquent pas que leur maison est régulièrement endommagée, voire totalement détruite (le laboratoire est par ailleurs anéanti au moins à trois reprises, une fois par autodestruction, la seconde fois écrasé par la Lune et la troisième fois à la suite de jeux avec sa soeur Dee Dee dans l'épisode Au jeu comme à la guerre) Par ailleurs, le lancement de sondes spatiales depuis le laboratoire (qui nécessite parfois le basculement entier de la maison) ne semble pas déranger plus que cela les parents de Dexter.

วันอาทิตย์ที่ 15 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

KFC



KFC (abréviation de Kentucky Fried Chicken), ou PFK (Poulet Frit du Kentucky) au Québec, est une chaîne de restauration rapide américaine basée à Louisville dans le Kentucky. Fondée par le Colonel Sanders au milieu du XXe siècle, elle appartient désormais au groupe Yum! Brands, Inc. et est connue notamment pour ses recettes à base de poulet. Aujourd’hui présent à travers plus de 14 000 restaurants, dont 79% sont gérés en franchise, dans 80 pays[2], KFC est la chaîne de fast food de poulet la plus connue au monde. Elle sert chaque jour près de 8 millions de clients dans le monde entier.


Histoire
Né à Henryville, dans l'Indiana, Harland Sanders est depuis son plus jeune âge passionné par la cuisine. Après avoir exercé de nombreux métiers pendant sa jeunesse, il décide en 1940 de servir ses propres recettes aux clients de la station service qu'il possède à Corbin dans le Kentucky. Fort de son succès, il ouvre un motel-restaurant qu'il est contraint de fermer quelques années plus tard en raison de la construction d'une nouvelle autoroute inter-états à l'emplacement de son affaire. Il part alors sillonner l'Amérique à la recherche d'un restaurant qui accepterait de lui acheter ses poulets, jusqu'en 1952 où il ouvre son premier Kentucky Fried Chicken en franchise. Sa jeune société va dés lors commencer à croître, jusqu'à compter 600 points de vente à travers l'Amérique[3], mais il s’en sépare en 1964, la vendant au futur gouverneur du Kentucky, John Y. Brown, Jr. Il va alors jusqu'à sa mort s'atteler à promouvoir sa marque, devenant ainsi son porte-parole et ambassadeur officiel. Depuis la chaîne a été rachetée de nombreuses fois et appartient désormais à Yum! Brands, Inc., l'ancienne filiale du groupe PepsiCo.

L'abréviation du nom Kentucky Fried Chicken en KFC a été introduite par la société en 1991. Bien qu'aucune explication officielle n'ait jamais été fournie, on retient trois hypothèses concernant ce changement. La première serait que la chaîne ne voulait pas être identifiée uniquement à son poulet puisqu'elle proposait également d'autres plats et condiments qu'elle désirait faire connaître. La seconde accuserait la connotation péjorative du mot fried (frit), souvent gage de mauvaise qualité. Enfin, la dernière mettrait en cause le simple fait qu'une version raccourcie du nom de la chaîne sonnerait plus jeune. Récemment la compagnie a commencé à réintroduire le nom de Kentucky Fried Chicken en le citant dans ses publicités, et l'apposant sur certains de ses produits


Produits
En plus du poulet frit, KFC propose à son menu des plats d'accompagnement. On peut par exemple commander dans les restaurants américains de la salade de chou blanc à la mayonnaise, de la purée de pomme de terre, des pâtisseries, des épis de maïs, des tourtes, des hamburgers, des travers de porc, des haricots verts, des ailes de poulet, des Poulet Pop-Corn (bouchées de poulet frit servies dans un cornet en carton), des sandwichs et des desserts [5]. La carte de la chaîne n'est en revanche pas tant diversifiée dans les autres pays du monde. En France par exemple, KFC ne propose en guise d'accompagnements que du maïs, de la salade tomate mozzarella, des frites, des Fresnos (bâtonnet de piment frit fourré aux herbes), des hamburgers et des desserts[6]. KFC prépare également des spécialités exclusives dans certains pays comme c'est le cas avec la poutine au Québec.

Parfois, les innovations d'un pays en matière de menu peuvent être adoptées par les restaurants KFC du monde entier. Ainsi la direction de Singapour introduisit la première le Colonel's Filet en 1988, le Hot & Crispy Chicken en 1990 et le Zinger trois années plus tard[7]. Depuis la fin des années 1990, la compagnie sert les Popcorn Chicken, ses bouchées de poulet frit célèbres en Amérique. Elles furent abandonnées suite aux plaintes de clients qui disaient ne manger presque que la peau du poulet, puis réintroduites au début des années 2000. En mai 2006, KFC introduisit aux États-Unis la Famous Bowl, un bol rempli avec de la purée de pomme de terre ou du riz, de la sauce au jus, du maïs, des bouchées de poulet frit et du fromage. Avant de la commercialiser, des études de marché furent préalablement réalisées au restaurant de Louisville à l'automne 2005. En 2007, la chaîne ajouta à sa carte un nouveau hamburger : le Fish Snacker, un sandwich au colin d'Alaska[8].

Aux États-Unis, les produits KFC sont les plats les plus demandés pour le dernier repas des condamnés à mort


La recette secrète
La recette secrète aux 11 herbes et aromates aurait été inventée et développée pendant 9 années par le colonel Sanders dans son restaurant à Corbin. Cette légende est largement utilisée par la marque comme moyen de promotion tout comme pour le mythe de la composition du Coca-Cola. Elle assure en effet qu'il s'agit d'un des secrets les mieux gardés dans le milieu des entreprises et qu'elle est encore utilisée de nos jours dans les restaurants KFC[10]. La feuille sur laquelle est inscrite la recette serait gardée dans un coffre à Louisville et même le président-directeur général du groupe n'en connaîtrait pas l'exact contenu.

Le poulet frit KFC serait cuisiné dans un autocuiseur et non pas dans une friteuse classique, ce qui confèrerait, d'après la chaîne, une saveur unique à la viande. Pourtant, l'animateur américain Alton Brown démontra dans son émission intitulée Good Eats que le fait d'utiliser une CocotteMinute ne faisait que réduire le temps de cuisson du poulet, sans lui apporter aucun goût particulier. Le colonel Sanders aurait donc d'après lui utilisé un autocuiseur seulement afin de servir ses clients plus vite, leur épargnant ainsi les 45 minutes d'attente nécessaires pour faire frire un poulet dans de l'huile bouillante.

En 1985, le journaliste William Poundstone écrivit un livre nommé Big Secrets (Grands Secrets), dans lequel il analyse et révèle la composition de la recette secrète. Poundstone explique qu'il a du étudier les différents brevets déposés par le Colonel et déposer des annonces dans des journaux étudiants afin d'appeler les employés de KFC à partager leurs connaissances. Il en est arrivé à la conclusion que le poulet de Sanders serait différent car il aurait utilisé une quantité d'huile supérieure à la quantité normale et commencerait à cuire le poulet à 200°C la première minute pour après baisser la température à 120°C jusqu'à la fin de la cuisson. Un laboratoire d'analyse lui révéla également que les "11 herbes et aromates" ne seraient en fait que du sucre, de la farine, du sel, du poivre noir, et du glutamate monosodique. D'après le journaliste, il est fort probable que la véritable recette du Colonel ait été modifiée durant les années qui ont suivi la vente de sa société, afin de produire le poulet à moindre frais, Sanders lui-même s'étant indigné de la baisse de qualité de son affaire.



Campagnes publicitaires
Les premières publicités pour KFC mettaient généralement en scène le colonel Sanders qui dégustait son poulet tout en parlant de sa recette secrète et de l'authenticité de sa marque. Elles insistaient également sur les valeurs familiales et traditionnelles, invitant les téléspectateurs à tous se retrouver autour du poulet KFC[11].

Après la mort du colonel en 1980, la chaîne fit appel à Will Vinton pour réaliser une série de publicités humoristiques basée sur le principe de l'animation de pâte à modeler. La plupart montrait un poulet stylisé censé représenter la mauvaise qualité des autres marques concurrentes[12]. La marque fut également le sponsor de pilotes de Nascar tels que Darrell Waltrip, Neil Bonnett, et Terry Labonte pendant la NEXTEL Cup.

Elle réitèrera l'opération en 1997 en devenant le sponsor de Rich Bickle, membre de de l'équipe Darrel Waltrip Motorsports, pour le tournoi Brickyard 400.

À la fin des années 1990, une nouvelle version stylisée du colonel Sanders apparut sur les enseignes de la marque. Les publicités commencèrent à mettre en scène une version animée du colonel, doublé par l'acteur américain Randy Quaid. Représenté d'humeur jovial, il chantait, dansait et tapait sur l'écran de télévision, promouvant ses produits auprès des téléspectateurs.

Aujourd'hui il est plus rare de voir apparaître ce personnage à la télévision américaine, les réclames pour KFC étant plutôt orientées sur la satisfaction des clients à manger le célèbre poulet. Elles utilisent toutes une reprise de la chanson "Sweet Home Alabama" de Lynyrd Skynyrd.

En 2006, KFC créa la plus grande enseigne publicitaire jamais construite à ce jour. D'une superficie totale de 8128,75 m², le nouveau logo de la chaîne est visible depuis l'espace grâce au satellite GeoEye situé à plus de 250 km d'altitude[14]. Avec 3000 heures de travail, la réalisation consista surtout à poser côte à côte des carrés peints de 30 cm de côté, comme un gigantesque puzzle. Le tout se chiffre alors ainsi : 6.000 pièces rouges, 14.000 carrés blancs (sur fond blanc), 12.000 jaunes, 5.000 beiges et 28.000 noirs[15]. À quelques kilomètres seulement du fameux site 51, cette enseigne aux proportions démesurées est censée marquer un renouveau de la marque qui prévoit la rénovation de ses 14 000 unités au cours des 5 prochaines années

Le 15 novembre de la même année, la chaîne lança un grand concours appelant à trouver le message caché sur le logo géant afin de gagner un hamburger gratuit[17]. Il s'agissait en fait du célèbre slogan Finger Lickin' Good inscrit sur un panneau tenu par un faux Sanders se tenant au niveau de la cravate du colonel géant.

L'enseigne se servit aussi du jeu vidéo pour promouvoir ses produits. Ainsi on pouvait retrouver dans le jeu de Dreamcast Crazy Taxi un restaurant KFC.

Il n'est pas rare de trouver aux États-Unis des établissements KFC couplés avec un ou plusieurs autres restaurants du groupe Yum!. Ils se comportent comme des fast-food classiques, mais proposent aux clients un menu composé de recettes de chaque marque.


KFC en France
Présent dans l'hexagone depuis 1991, KFC France SAS est dirigé depuis 2003 par Ivan Schofield et réalise en 2007 un chiffre d'affaires de 78,7 millions d'euros par an[19]. Son siège social est situé à Nanterre, aux côtés des quartiers généraux des autres marques du groupe Yum!. KFC France emploie plus de 1.800 personnes qui servent près de 20.000 clients par jour. Ses restaurants sont ceux qui réalisent les chiffres d’affaires moyens les plus importants d’Europe.

90% des poulets servis dans les restaurants KFC français proviennent de la Communauté Européenne et 10% du Brésil. Le principal fournisseur de la chaîne est le groupe breton Doux


Histoire
C'est en 1991 que KFC ouvre son premier restaurant dans un centre commercial Carrefour de Villiers en Bière [22]. L'année suivante l'enseigne ouvre le premier KFC parisien dans le quartier des Halles et la marque va continuer à se développer en France en ouvrant 5 nouveaux établissements. Mais le groupe PepsiCo, alors propriétaire de la marque, décide de se séparer de sa branche restauration et arrête ainsi l'expansion de l'enseigne en France. En 1997, le spin-off du groupe permet à KFC d'intégrer TRICON qui décide de reprendre son développement sur le territoire français en 1999. En 2001 la marque dispose de son propre réseau en national et investit dans dix nouvelles unités[23]. Les années suivantes, KFC France continuera à se développer notamment sur Paris et la région parisienne. Elle possède aujourd'hui 50 restaurants à travers la France et prévoit 100 nouvelles ouvertures d'ici 2009/2010[24]. 2006 a été une année clé pour KFC, elle marque le début d’un vaste plan de modernisation sur 5 ans de la chaîne qui se lance dans une démarche à long terme d’harmonisation des services proposés dans ses 50 restaurants en France[21]. Le premier établissement à avoir été "remodelé" est celui des Halles, porte-drapeau de la marque dans l'Hexagone.

วันอังคารที่ 10 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

สำนวนไทย

คำถามต่อไปนี้ตรงกับสำนวนไทยว่าอะไร?


"

"


วัวอะไรเดินไม่ได้?
เฉลย : วัวลืมตีน



เก้าอี้ตัวหน้ามี 4 ขา ตัวหลังมีแค่ 3 ขา ถ้าต้องนั่งตัวหลังเรียกว่าอะไร?

เฉลย : ตกที่นั่งลำบาก



เกลืออะไรอีกไม่นานก็บินได้แล้ว?

เฉลย : เกลือเป็นหนอน…อีกไม่นานก็กลายเป็นแมลงวันบินปร๋อ



สัตว์อะไรอยู่บนไอศกรีม?

เฉลย : คางคก…ก็ 'คางคกขึ้นวอ (ลล์)' ไง…(ไอศกรีมวอลล์)



อะไรใหญ่กว่าภูเขา?

เฉลย : เส้นผม...เพราะ เส้นผมบังภูเขามิดเลย ;-)



ทำไมผีต้องค้างคืนที่โรงแรม?

เฉลย : เพราะ…ผีลืมหลุม กลับไม่ถูกอ่ะ



หนูอะไรไม่เคยเสียสาว?

เฉลย : หนูไม่ยอม (ซะอย่าง)



หมาหางด้วนเจอที่ไหนมากที่สุด?

เฉลย : ที่วัด…เพราะหมาพวกนี้โดน 'ตัดหางปล่อยวัด'



ปากอะไรน่าสงสารที่สุด?

เฉลย : ปากกัดตีนถีบ



สำนวนไทยเรียกเกย์กลับใจที่หันไปชอบผู้หญิงอย่างเดียวว่าอะไร?

เฉลย : พวก 'ได้หน้าลืมหลัง'...อ้ะจึ๋ย!



เมื่อไร 10 น้อยกว่า 1?

เฉลย : เมื่อ 'สิบปากว่า ไม่เท่าตาเห็น'



ตำรวจไทยฝีมือดีที่สุดคือใคร?

เฉลย : 'ละม่อม' เพราะเห็นข่าวว่า 'จับได้โดย

วันอาทิตย์ที่ 8 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

Harley-Davidson



Harley-Davidson est un fabricant de motocyclettes basé à Milwaukee (Wisconsin), États-Unis d'Amérique. L'entreprise a été fondée en 1903.
Ces motos ont un style, un caractère moteur et une sonorité particulière qui suscitent la fidélité chez les clients de la marque. Les motards qui ne participent pas à ce culte les trouvent dépassées car elles ont souvent un look de machine de collection mais elles sont bien plus modernes qu'on ne le pense.


Histoire
Fondation
L'entreprise Harley-Davidson eut un début modeste en 1903 quand William Harley, alors âgé de 21 ans, et Arthur Davidson (20 ans) construisirent un prototype de bicyclette motorisée dans un garage minuscule.
Dans les deux premières années ils ne produisirent que trois motocyclettes. Le modèle était la « Silent Grey », un monocylindre à soupape d'admission automatique et dépourvue de boîte de vitesses. Puis ils fondèrent officiellement la société le 28 août. Le dessin du cadre fut changé et la production de cette année-là fut de trois engins.
En 1906, elle ouvrit son premier atelier avenue Juneau, qui est toujours le lieu du siège social. La production augmenta régulièrement (la Silent Grey Fellow est vendue 200 $)

En 1907 Walter Davidson devient le premier président de la Harley-Davidson Motor Compagny. William Harley est nommé ingénieur en chef. Arthur Davidson est en charge de la partie commerciale alors que William Davidson dirige l'atelier. La taille de l'entreprise double. Les actions sont également réparties entre les quatre fondateurs. 18 employés travaillent pour la Motor Co. Elle reçoit sa première commande d'une force de Police.
En 1908, Harley Davidson fait ses débuts en compétition : Walter Davidson, âgé de 32 ans, s'engage pour l'endurance de « New York 's Catskill Mountain » avec sa Silent Grey Fellow personnelle. Il remporte en juin la course avec le score parfait de 1 000 points devant 62 autres participants. Le week-end suivant, Walter gagne un Economic Run à Long Island en parcourant 188 miles avec un gallon d'essence. Suite à ces victoires, les concessionnaires voient les ventes s'envoler. Le monocylindre délivre 4 cv et atteint 45 mph (75 km/h environ).
Bill Harley, de retour de l'université, étudie un moteur plus puissant : au lieu de créer un tout nouveau bloc, il greffe directement sur la Silent Grey Felow un deuxième cylindre. Bill utilise une bielle en fourche qui s'associe dans le même plan à la bielle du monocylindre sur le vilebrequin. Le V Twin Harley est né !
Milwaukee inaugure un système de numérotation faisant de l'année 1904 l'année zéro de la production. Les modèles 1908 sont donc appelés "model 4".
La police de Chicago passe une commande de Harley-Davidson. (Production : 450 exemplaires)
En 1909, Harley Davidson propose à la vente son tout premier bicylindre. Il est déjà en V et calé à 45°. Il produit 7 cv Les soupapes d'admission ne sont plus poussées mais culbutées comme sur le monocylindre. Le V-Twin atteint 60 mph(96 km/h environ). C'est alors la moto la plus rapide du marché. Seulement 27 V-twin trouveront preneur, alors que 1 100 monocylindres sont vendus. Le bicylindre sera retiré de la vente car il n'est pas équipé d'un tendeur de courroie, contrairement au monocylindre. Le tendeur de courroie fait alors office d'embrayage. Privée de cette pièce, la moto est un calvaire : il faut couper le moteur à chaque arrêt puis la redémarrer en pédalant !
En 1910, la Harley-Davidson Motor Compagny utilise pour la première fois le fameux logo dit "Bar and Shield". Le monocylindre de 492 cm3 produit désormais 4,34 cv sous la dénomination "model 6 ". Cette moto pèse moins de 100 kg.
En 1911, le bicylindre est fiable et utilisable au quotidien. H-D propose désormais des pièces de rechange.
Le succès de l'entreprise commence à attirer l'attention et la concurrence (150 en 1911).
1912 fut une grande année dans l'évolution de la marque : Le modèle X8E de 61 ci est un succès grâce à l'embrayage placé dans le moyeu de la roue arrière par Bill Harley. Il est appelé "Free Wheel control". Il est commandé de la main gauche par un imposant levier. Fin 1912, Harley-Davidson propose au choix la courroie en cuir ou une chaîne. Plus de 200 concessionnaires sont répartis dans le pays.
En 1913, l'atelier, devenu une usine mesurait 28 000 m² (300 000 pieds carrés). L'entreprise domine le marché avec une production de 12 904 machines.


Époque de la Première Guerre mondiale
En 1917, les États Unis d'Amérique entrent en guerre. Les forces armées demandent des motos. Elles avaient déjà été utilisées dans des escarmouches avec Pancho Villa mais ce serait le premier conflit avec une utilisation massive, puisque 20 000 machines y seraient affectées.
En 1920, Harley-Davidson était officiellement le plus grand fabricant de motos au monde. Les motos de la marque étaient distribuées dans 67 pays pour un total de 28 189 machines.
En 1921, une Harley-Davidson fut la première à gagner une course à une moyenne supérieure à 160 km/h (100 miles/heure)
Dans les années 1920, plusieurs améliorations furent faites : notamment un frein sur la roue avant en 1928 et la cylindrée augmentée. Le réservoir d'essence en goutte d'eau fut introduit en 1925.


Époque de la Seconde Guerre mondiale
L'une des deux sociétés fabriquant des motos à avoir survécu à la grande dépression fut Harley-Davidson. La société produisit encore de grandes quantités de motos des modèles WLA/WLC, XA, UA,etc... pour les forces armées Américaines et Alliées pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle reprit ensuite la production civile, connaissant aussi des succès en compétition.

Dans les années 1970, Harley-Davidson évolue peu et se cantonne à ses modèles, sans changer de conception durant de nombreuses années. Le coût et le prix deviennent élevés pour des performances qui étaient très inférieures à celles des nouveaux concurrents japonais. Néanmoins, en 1977, Harley-Davidson surprend tout le monde en présentant la 1000 XLCR Cafe Racer. Mais elle n'aura pas le succès attendu.
Quelques années plus tard, la firme récidivera avec le modele XR 1000, directement dérivé de la compétition, et là encore, se sera l'échec commercial, notamment en raison d'un prix de vente prohibitif pour l'époque, plus de 6000 $.
Au milieu des années 1970, AMF acheta la société et augmenta la production mais cette stratégie entraîna une qualité moindre. Les ventes déclinèrent et l'entreprise fut sur le point de faire faillite. Le nom lui-même devint l'objet de moqueries comme à peine capable et le titre goret (hog) devint autant affectueux que péjoratif. AMF vendit l'entreprise à un petit groupe d'investisseurs qui ralentirent la production, introduisirent des techniques de productions innovantes et améliorèrent la qualité. Plutôt que de se battre contre les Japonais sur leur terrain, cette nouvelle direction accentua le côté rétro mais apporta une excellente réputation à la firme.
Une Harley-Davidson devient alors objet de collection qui garde sa valeur si elle est bien entretenue, surtout pour un gros modèle.
La vente d'objets portant le logo et des accords de licence avec des entreprises fabriquant des camions légers à plateau (série F) comme Ford assurent une publicité forte et des revenus intéressants.


Modèles
Les modèles de châssis sont représentés par une lettre : F pour grosse cylindrée, X pour petite, FL pour grosse avec la fourche Hydraglide et FX pour la petite avec une fourche ordinaire.
La ligne Sporster (qui a débuté en 1957 pour contrer l’offensive anglaise menée principalement par Triumph) : 883, 883 Custom, 1200 Roadster (double disque avant) et 1200 Custom. Ces deux derniers ayant une puissance de 70 ch pour un couple de 109 Nm à 3 300 tr/min. Les modèles 2007 sont à présent équipés d'une injection électronique qui améliore la régularité du couple et la consommation.
La marque Buell a été fondée par un ancien ingénieur de Harley-Davidson, Erik Buell. Elle se distingue par une architecture très sportive, avec amortisseur et échappement sous un moteur de sportster amélioré, notamment par l'adjonction, sur certains modèles (X1), d'une injection électronique, allant de 900 à 1 200 cm³. Le modèle le plus récent XB12S et Ss a une puissance de 100 ch.
Il est à signaler que depuis 2002, les Buell sont équipées de moteurs exclusifs à Buell : un monocylindre de 500 cm³ installés sur le modèle « Blast » et un bicylindre 900cm³ installé sur la XB9. Ce dernier à ensuite été porté à 1200cm³ sur les modèle XB12. Ces moteurs Buell conservent l'architecture originale issue du moteur du sportster mais n'ont plus grand chose de commun avec le sporster dont sont toujours équipées les Harley Davidson.
Cette marque a été rachetée par Harley-Davidson.

วันศุกร์ที่ 6 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

Reggae




Le reggae est l'une des expressions musicales jamaïcaines les plus connues et les plus populaires qui est devenue, à la faveur de son succès international un style musical incontournable porteur d'une culture qui lui est propre.


À l'origine du reggae
« Il y d'abord le mento, notre musique locale traditionnelle. Le ska, le rocksteady et le reggae ont pris au mento le jeu à contretemps de la guitare rythmique, et aussi certaine chansons transformées. Si on essaie d'établir des relations entre les musiques, et de voir quelles continuités existent d'une période à une autre, on peut isoler le jeu à contretemps de la guitare, que l'on peut entendre dans le mento avec le banjo, le ska, et qui correspond aussi au contretemps dans le rythm & blues et en particulier dans le piano boogie-woogie. C'est le " beat " entre les temps, c'est le Tin-Cutin'-Cutin' -Cutin', c'est le un ET deux ET trois ET…Tu le retrouves dans toutes nos musiques, le reggae, le calypso, le mento, la musique de la Martinique, de la Guadeloupe, tu le retrouves dans le hi-life, mérengue. De plus cette attirance vers l' "after-beat " se retrouve dans les églises, avec les rythmes des tambourins, des claquements des mains … Une grande part du mento provient de la musique populaire. Mais nous avons aussi des traditions folk très fortes, qui pénètrent dans la musique à différentes étapes de son développement. Par exemple tu as la musique Burru, le tambour traditionnel africain sur lequel les gens font des chansons sur les évènements locaux. Ces chansons sont celles qu'ils chantent en creusant dans les champs, des diggin'songs… »
Linton Kwesi Johnson


Le reggae est apparu à la fin des années 1960. Il est fruit de nombreuses rencontres et de métissages : évolution du ska et du rocksteady, il trouve ses racines dans les musiques traditionnelles caribéennes comme le mento et le calypso, mais est aussi très influencé par le rythm&blues, le jazz et la soul music (la musique américaine est alors très en vogue en Jamaïque). À ces influences s'ajoute celle de musiques africaines et du mouvement rasta et des chants nyabinghi, qui utilisent les Burrus africains (tambours) apportés par les esclaves en Jamaïque. Ce métissage ne s'arrêtera pas là, aujourd'hui nombre de styles s'inspirent, intègrent ou reprennent le style reggae, de par le monde. Le reggae est aujourd'hui une musique universelle, comme le souhaitait celui qui fut son principal ambassadeur, Bob Marley.

Si le terme apparaît dans les années 1973 dans la presse occidentale, son origine est obscure. Il pourrait venir du mot d'anglais jamaïcain, "streggae", qui désigne une personne mal ou trop peu habillée, et de là, les prostituées[1]; ce mot aurait été modifié par une radio jamaïcaine de l'époque . D'autres explications existent, comme celle qui en fait la contraction des expressions “regular guy”, “regular people”, en somme une musique faite pour “l'homme de la rue” (citation Bob Marely, interview [réf. nécessaire]). Pour le chanteur Bob Marley, le terme aurait des racines espagnoles et désignerait la « reine des musiques » (« la musica del rey »)[2]. Selon d'autres sources, il serait la contraction et l'altération du terme anglais « raggamuffin » (littéralement « va-nu-pieds ») [3] ou peut-être de rege-rege « querelle ». Autre hypothèse, « reggae » désignerait une tribu de langue bantou originaire du lac Tanganyika[4]. Derrière toutes ces étymologies possibles, se dessinent les particularités d'un genre musical fait d'héritages, de brassages, d'appropriations et de confrotation à la dure et rugueuse réalité. Enfin, dernière explication, la plus simple et sûrement la plus séduisante, le terme « reggae » découlerait de la spécificité de son rythme - « a ragged rythm » un « rythme déguenillé » ou « irrégulier » - comme le soutient le guitariste de studio Hux Brown

Tout aussi problématique est la question de la paternité du reggae en tant que genre musical proprement dit ; paternité qui, contrairement au rocksteady, est très controversée : certains attribuent le premier disque de reggae aux Maytals avec Do the Reggay en août 1968. Cependant, si Toots est certes le premier à utiliser le mot "reggae" dans une chanson, d'autres morceaux au tempo un peu plus rapide que le rocksteady ont déjà préfiguré le style au cours de l'année 1968. Ainsi Pop-a-Top de Lynford Anderson annonçait déjà, début 1968, un nouveau style de rythme, bien plus rapide. D'autres compositions se disputent le titre de premier reggae, dont le Bang A Rang de Stranger Cole et Lester Sterling (pour Bunny Lee), le Nanny Goat de Larry Marshall et Alvin (sous la direction de Jackie Mittoo, pour Studio One), la première version méconnue du Soul Rebel de Bob Marley, et le No more heartache des Beltones.

Cette première phase d'évolution du reggae, que l'on qualifie de période du "early reggae", est caractérisée par un tempo plus rapide, et l'accélération du jeu à contretemps déjà présent avec le ska et le rocksteady. Puis le tempo ralentira, la basse se fera plus lourde encore, mais le reggae gardera cette base rythmique basse/batterie prédominante et ce mouvement chaloupé qui lui est propre.

Lee « Scratch » Perry est également à l'origine d'un des premiers succès reggae de 1968, Long Shot (interprété par les Pioneers, avec les jeunes frères Aston « Family Man » et Carlton Barrett à la basse/batterie), où il utilise une rythmique particulièrement rapide. Scratch travaille alors pour Joe Gibbs et le quittera pour ne pas avoir été crédité pour son travail sur ce morceau [réf. nécessaire]. - Il reprendra ce morceau à son compte en se lançant dans la production, avec son propre label "upsetter" (énerveur). "People Funny Boy" fera un carton en Angleterre. - Scratch utilisera par la suite des pratiques innovantes qui transformeront le reggae, comme l'introduction de bruitages (l'origine du sample). Il fondera également le légendaire studio Black Ark où seront enregistrés, entre autres, Bob & The Wailers, The Congos, Max Romeo, Junior Murvin.

Styles et caractéristiques
Le reggae peut-être caractérisé par :
généralement, l'utilisation de la guitare basse, de la guitare éléctrique, de la batterie, et du scraper ou son équivalent le jawbone qui vient en fin de mesure, et qui accompagnent des chants lourds d'émotion et qui souvent, expriment le rejet pour une "culture dominante".
son rythme four beat, binaire, assez lourd, avec l'accent par la basse et batterie les temps faibles, en particulier troisième temps (connu sous le nom de one drop),
ce que l'on qualifie souvent de contretemps, mais qui l'est pas - car ses accords Modèle:Mot manquant sur le second et quatrième temps - marqué la guitare rythmique ou le clavier (connu sous le nom skank).


L'évolution du reggae
Dès sa naissance, en Jamaïque, le reggae évolue :

1968 - 1970 : le early reggae : tempo rapide, dû aux influences du mento local encore très rythmé, prédominance de la basse
1970 - 1972 : le reggae one-drop : tempo medium, rythme plus lent
1972 : le roots rock reggae : tempo plus lent, prédominance de la basse plus forte encore
1985 : le early digital : rythmique rapide, composée en partie de samples

C'est à partir de 1972, avec le succès de Bob Marley & The Wailers puis d'autres groupes comme les Gladiators et Black Uhuru que le reggae prend une dimension internationale. Dès lors, il pourra non seulement continuer à évoluer en Jamaïque, mais aussi reprendre son métissage à travers le monde.

Du Reggae instrumental au dub
La musique dub est dérivée du reggae. Au début des années 1970, les ingénieurs du son King Tubby et Errol Thompson approfondissent les recherches d'invention d'Augustus Pablo dans le domaine du reggae instrumental. Ceci consiste à effectuer un travail des morceaux présents sur la face A des vinyles, et que l'on place en face B. La face A étant le morceau original et la face B la version dub. Le style se caractérise alors par son accentuation rythmique, lourde et dépouillée, une basse très présente et une mélodie squelettique. On y ajoute des effets comme des échos, de la réverbération qui permettent aux toasters (disc-jockey du reggae) de développer leurs improvisations dans les sound-systems.

Cette mouvance jamaicaine est reprise dans les années 1980 par des Sounds Systems anglais (Aba Shanti I par exemple) qui y rajoutent une bonne dose d'instruments électroniques et par la prédominance du Steppah (basse et grosse caisse sur chaque temps). Ce courant se développe ensuite en Europe (France, Allemagne, Autriche) puis se détache du mouvement reggae pour devenir un style à part entière.

วันจันทร์ที่ 2 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

Mini Cooper




Mini2
Lancée en 2001, la nouvelle version de Mini (souvent dénommée Mini2) est conçue par BMW.

Elle est construite dans la même usine de Cowley à Oxford (Royaume-Uni), celle qui fabriquait les premières Mini Morris. Le moteur 1,6 l des versions essence est produit par Daimler Chrysler au Brésil.

Le style retenu est astucieusement évocateur du profil de l’originale (Mini1) bien que les nouvelles dimensions aient été fortement accrues : plus 60 cm en longueur, plus 27 cm en largeur. La puissance des moteurs s'est fortement accrue, mais le poids a lui aussi suivi la même pente et dépasse nettement la tonne (soit près du double de la version originelle).


Elle est disponible en quatre versions : MINI One, MINI One D (avec un moteur diesel Toyota), MINI Cooper et MINI Cooper S (disposant d'un compresseur)

Un modèle décapotable, « le Cabrio », est apparu en 2004. Il existe aussi des versions « extra large » (à la manière de la voiture du loup de Tex Avery).

La boîte automatique, de type CVT avec six vitesses factices, est disponible sur les trois motorisations essence, issues d'un même bloc de 1,6 l : la One, d'une puissance de 90 ch, la Cooper, de 115 ch et la Cooper S, de 170 ch (initialement 163 ch). La version diesel, la One D, uniquement équipée d'une boîte manuelle, délivre d'abord 75 ch, puis 88 ch.


La Mini dispose d'une déclinaison très sportive, la Cooper S John Cooper Works (préparateur dont les modifications sont garanties par BMW et son réseau), reposant toujours avec le petit moteur 1,6L à compresseur poussé à 210 ch. Elle peut disposer de personnalisations intérieures et extérieures très spécifiques. Ses suspensions durcies sont souvent qualifées de « bouts de bois », elle sont calibrées pour la piste plus que pour la route.

En octobre 2005, trois séries limitées luxueuses ont été lancées : MINI Seven (Mini One), MINI Park Lane (Mini Cooper) et MINI Checkmate (Mini Cooper S).

Le succès phénoménal de la Mini2 a été étudié par toutes les grandes marques automobiles mondiales. Partant d'une production devenue confidentielle (les Mini1 étaient en perdition au tournant du millénaire), BMW a réussi à vendre plus de 800.000 exemplaires en version Mini2. Est-ce grâce à sa qualité de finition (meilleure que celle de ses principaux concurrents), à ses qualités dynamiques (les roues déportées aux 4 coins, l'« effet kart » en virage) ou à sa liste d'options très fournie ? L'image positive dégagée par ce petit véhicule permet, semble-t-il, aux clients de passer outre son petit coffre, sa présentation marginale, son prix exclusif, son manque relatif de confort et sa consommation peu raisonnable.

Par ailleurs, BMW ayant conçu rapidement la Mini2 (pour maintenir la production de l'usine anglaise et éviter de faire sombrer Mini avec la marque Rover), de nombreux points de conception avaient été initialement négligés

Mini3
Une nouvelle version de Mini (dite Mini3) a été finalement lancée fin 2006. Les premières versions disponibles furent la Cooper S (175 ch) et la Cooper (120ch). Suivent, début 2007, les Mini One (95 cv) et Mini One D (110 cv). Seuls les connaisseurs peuvent distinguer la Mini2 et la Mini3 d'un coup d'oeil. Pourtant, BMW n'a pas fait dans la réutilisabilité, seuls le toit et le pare-brise seraient identiques avec la Mini2. La prise d'air sur le capot de la Cooper S est maintenue (elle est apparue sur les Mini2 Cooper S) mais elle ne fait que dégrader l'aérodynamisme car elle est obstruée dans les versions actuellement commercialisées !


L'intérieur est une évolution de celui de la Mini2. Le tachymètre posé au centre du tableau de bord est devenu gigantesque (sans doute pour pouvoir loger l'option GPS qui dispose maintenant d'un écran plus important). Si la qualité des matériaux utilisés semble en hausse par rapport à la version précédente, l'ergonomie reste encore spéciale. Les places arrières offrent un espace limité pour les jambes (sauf si le siège avant est très avancé), ce n'est pas une surprise, mais la hauteur entre l'assise et le toit de la voiture est plutôt bonne (les grands ne se cognent pas la tête). En bref, la Mini n'est toujours pas une « voiture à vivre » pour reprendre un slogan Renault, elle se prend comme elle est, avec ses originalités (comme les interrupteurs chromés type « aviation » par exemple), son style voyant, ses lacunes d'équipement (pas de manomètre pour surveiller la surpression du turbo dans la Cooper S entre autre, même en option). A noter, une option d'ambiance d'éclairage intérieur pouvant passer dans différentes teintes suivant l'humeur ! La fameuse liste des options (imbattable dans sa catégorie de véhicule) en comporte de nombreuses qui seraient du plus mauvais goût dans une autre voiture (excès de chrome par exemple), mais dans une Mini...

La direction des Mini3 est entièrement électrique (solution provenant de l'équipementier japonais JTEKT). Le moteur d'assistance ne fait pas appel à une assistance hydraulique (plus encombrante, plus lourde et nécessitant la surveillance de la qualité du fluide). Cette gestion est asservie par la vitesse du véhicule mesurée en sortie de boîte de vitesse. Cette assistance est discrète dès que la voiture roule, ce qui évite l'impression de direction molle particulièrement inadaptée sur les véhicules sportifs, de plus certaines stratégies s'activant sous certaines conditions (vitesse volant, accélération...) permettent un ressenti volant proche de celui d'une direction sans assistance. A noter, la colonne de direction est réglable en hauteur et en profondeur (à voir si ce sera aussi le cas des versions One) ce qui n'est pas toujours le cas dans les petits véhicules de ville.

L'accélérateur est « électrique ». Sa sensibilité semble correctement réglée par défaut.

Les moteurs essence des Cooper et Cooper S ont, quant à eux, été complètement revus (seule la cylindrée ne change pas). Ils sont maintenant le fruit d'un travail conjoint entre BMW (ingénierie) et Peugeot (production). Ces moteurs sont équipés d'un carter semelle et d'une pompe à huile performante (à débit variable en fonction de la pression) généralement installé dans les moteurs sportifs de haut de gamme. De même la pompe à eau, avec son mécanisme de débrayage, marque la volonté de BMW de doter la petite Mini d'un « bouilleur » performant. Le résultat est très probant, le couple est particulièrement élevé dans la version Cooper S ce qui permet de réaliser des accélérations dignes de véhicules de catégories supérieures (on la compare souvent aux Golf GTi ou Clio RS par exemple). Le bruit reste soigné même si certains regrettent déjà le sifflement de perceuse du compresseur des Mini2 Cooper S (exemple de son d'une Mini3 Cooper S).

La version sportive (Cooper S) repose maintenant sur un turbocompresseur (à la place du compresseur de la Mini2 Cooper S) avec une fonction d'overboost, le couple passe rapidement de 240Nm à 260 Nm en appuyant brutalement à fond sur l'accélérateur et permet de meilleures accélérations (par surpression du tubocompresseur). Le moteur est dimensionné pour cette brutalité, par exemple, les soupapes sont remplies de sodium (technique fréquente dans les moteurs turbocompressés). Il est possible de sélectionner, en option, un différentiel à glissement limité (taré à 25%, piloté par le couple, l'écart de couple entre les deux demi arbres avants ne peut pas dépasser 75%), il peut résoudre certains problèmes de motricité notamment en sortie de virage, mais attention au coup de volant nécessaire pour rattraper son effet ! L'injection est directe et haute pression. Cette version peut être conçue avec un chassis sport (rafermissement des suspensions) et dispose d'une option (déconnectable) pour rendre la direction plus ferme et l'accélérateur plus sensible. La Cooper S procure de vraies sensations de conduite sportive, en particulier, elle dispose de très bonnes aptitudes à passer les virages (l'« effet kart » de la Mini2 est bien conservé). A noter que la boîte de vitesse (réalisée par Getrag) est très bien étagée, les performances en accélération sont bonnes tout en préservant un 6ème rapport suffisamment long pour conserver un régime moteur supportable pour les longs trajets sur autoroute (à 130 km/h). Les reprises sont meilleures qu'avec la Mini2 Cooper S, le turbo et l'injection directe haute pression font leur effet. Toutefois, certains reprochent à ce moteur turbo de « ne plus rien avoir » après 5500 tr/min. Mais la future version musclée de John Cooper Works (le préparateur « maison ») pourrait bien changer cela, en effet, la solution existe : BMW fabrique déjà des moteurs turbo à plus haut régime max (pour la série 3 notamment). Seuls les freins, traditionnelle faiblesse de BMW sur presque toute sa gamme, restent un cran en dessous. Ils manquent d'endurance en conduite très musclée. Mais il semble que John Cooper Works (encore une fois) ait une option améliorant ce point faible.

La version Cooper dispose d'un moteur 16 soupapes atmosphérique sophistiqué, notamment, le traditionnel papillon de gaz a été remplacé par une technologie pointue d'admission dite Valvetronic chez BMW, les arbres à cames d'admission et d'échappement sont tous les deux à calage variable et l'injection est multipoint. Toutefois, cette version manque de « nerfs » à bas régime. Il faut vraiment la pousser dans les tours pour qu'elle montre sa nervosité.

La Mini One se contente d'un petit 1,4 L à puissance contenue, seulement 95 cv. La version diesel, la Mini One D passe de 88 cv, sur la Mini2, à 110 cv. C'est un moteur Diesel Peugeot de 1,6 L en version HDI.

La bonne surprise est que cette petite voiture, putôt assez gourmande en carburant dans sa version Mini2, devient plutôt une « bonne élève » (environ 20% de baisse de consommation pour les Cooper et Cooper S). BMW sort du lot, en effet, la hausse régulière de consommation à chaque changement de modèle est un très gros point faible de la concurrence (le poids de leurs modèles diverge). Il est à noter que les masses non suspendues (très importantes pour la tenue de route) sont plus légères qu'avant, notamment grâce à l'utilisation partielle de pièces en aluminium.

La Mini3 reste une petite voiture même si ses cotes ont légèrement augmenté par rapport à une Mini2. Le confort est plutôt un peu meilleur que celui d'une Mini2 (ce n'est pas une référence de grand confort, de plus attention aux options qui dégradent le confort, grandes roues de 17 pouces, châssis sport). Le coffre reste, quant à lui, un des plus petit de la catégorie des citadines : seulement 160 l, juste 10 l de plus qu'une Smart Fortwo ! Tout cela contribue finalement à l'image décalée de cette petite citadine hors norme.



Histoire
1959 : conception très innovante pour l'époque (moteur transversal très compact, suspensions très originales, roues de petite taille, etc.) par Alec Issigonis pour British Motor Corporation (BMC)

Entre 1961 et 1969 il y eut aussi une version de la Mini produite avec un coffre plus grand nommée soit la Wolseley Hornet (reprenant le nom d’une voiture de sport des années 1930) et la Riley Elf. La Mini elle même pouvait être achetée dans plusieurs style de carrosserie - l’ordinaire deux portes, un break avec l’arrière s’ouvrant comme des portes de grange et une version avec un extérieur en bois similaire à celui de la Morris Minor.
Les années 1960 fut la période glorieuse avec des achats bien mis en scène par des vedettes, des victoires de la Mini Cooper en rallyes mais elle ne fut pas profitable à cause de méthodes de fabrication périmées nécessitant beaucoup de ressources humaines (pas de robot).
1968 BMC, Standard-Triumph et Rover fusionnent et forment le groupe British Leyland
En 1970, un redesign fut effectué, la Mini Clubman.
La production totale fut de 5,3 millions.
En 1994 sous Bernd Pischetsrieder, BMW prit le contrôle du successeur de British Leyland le Groupe Rover. Mais, en 2000, Rover continuait à faire des pertes colossales. BMW décida de céder presque toute l’entreprise à Phoenix, une nouvelle société britannique et Land Rover à Ford ; BMW garda la marque Mini et vend maintenant une toute nouvelle version.